Seul héritage sportif que la défunte Yougoslavie ait légué à ses communautés qui vivent depuis: LA DÉFENSE 3-2-1. Système de jeu que le monde du handball a tenté de copier, mais sans jamais atteindre la perfection des ex-Yougoslaves. Zoran Zivkovic, Serbe, ex-entraîneur adjoint de l'équipe de Yougoslavie de 1980 à 1986.
Le SYSTÈME a-t-il été modifié depuis 37 ans?
Les joueurs sont plus forts physiquement, mais étaient moins talentueux. Ça signifie que le jeu lui-même est devenu plus tactique. Quand on est fort, on peut
appliquer plus longtemps un schéma.
Les différentes communautés de l'ex-Yougoslavie jouent-elles le même jeu?
Il n'y a qu'un seul jeu qui n'ait jamais rassemblés, c'est celui-là. Aujourd'hui, Serbes ou Croates, c'est toujours la même manière de défendre, d'attaquer, de
combiner. Ils ont tous ceci en commun: une équipe yougo défend en annexant l'ESPACE DE JEU de l'adversaire. Les adversaires qui sont opposés aux Croates ou Serbes n'ont
jamais fait le distinguo, pour eux, c'est du jeu yougo.
En quoi est-il différent des systèmes traditionnels?
Le 3-2-1 mélange COMBINAISONS INDIVIDUELLES et DÉFENSE DE ZONE. Il faut que les joueurs aient bien assimilé les mécaniques d'attaques-défense. C'est un système
qui ne convient qu'à de grands techniciens extrêmement vifs. Le but est de défendre sur l'ESPACE et non pas d'ATTAQUER le joueur, comme on le voit d'habitude. On s'approprie son espace pour
couper ses relations de jeu. Surpasser l'adversaire au jeu pur, ça procure un plaisir immense. Ensuite le tromper, lui faire croire qu'avec cette défense il croit tenir des ouvertures de jeu
puis, d'un coup, le coincer, ça nous permet de diriger le jeu où l'on veut.
Il nous est demandé de bien effectuer une LECTURE DE JEU (cette défense). Il faut que les joueurs(es) arrivent à comprendre comment fonctionne de bout en bout ce système d'appât C'est un jeu de bluff et il faut être malin pour ne pas se faire avoir.
Y a-t-il un danger à pratiquer un même système pendant une heure de jeu?
Bien sûr. La difficulté est de savoir en changer. Face aux joueurs(es) de grande taille, qui font 2 m, ce système ne fonctionne pas toujours, parce qu'ils
restent statiques. Le problème de cette défense 3-2-1, c'est qu'il faut une doublure de joueur(ses) sur le banc quasiment aussi forte que le titulaire. Physiquement, c'est épuisant, parce que
les courses pour remonter le terrain sont longues. Le 2ème danger, c'est la fatigue nerveuse. A force de sacrifier des espaces pour lâcher des appâts à l'adversaire, on ne sait plus juger si
cet espace était vital ou non. Reste toujours le centre du terrain qui est protégé et les ailes qui sont gardées, mais parfois ça ne suffit plus.
En fait, le plus gros risque réside dans le manque de rendement d'un joueur. Si l'un est faible, la chaîne le sera aussi. Des matchs de 1/2 ou de finale sont des matchs d'entraîneurs. Celui qui gagnera c'est celui qui saura parler à ses joueurs.
LE JEU EN ATTAQUE
A propos de terminologie
Une ancienne étude sur le Basket américain faisait référence à des notions telles que : JEU CLASSIQUE et JEU EN LECTURE.
Pour le 1er, il était question du basket pratiqué en Université et basé sur le renforcement des fondamentaux techniques acquis au Collège mais aussi et surtout
l'apprentissage des différents systèmes d'attaque adaptés aux différents systèmes de défense et réciproquement.
Pour le second il s'agissait du jeu pratiqué en NBA, exclusivement basé, à l'époque, sur un JEU LIBRE de recherche systématique de 1 contre 1, facilité par le
fait que toutes les défenses de zone étaient
interdites car peu propices au "spectacle".
Aujourd'hui, s’il y a une tentative de classifier des intentions tactiques en attaque, il nous paraît important de nous servir de ces définitions pour y voir
clair.
Nous pourrions, par exemple, admettre que nôtre jeu "classique" serait celui qui nous amène à attaquer
grâce à des systèmes collectifs appris prédisposant les joueurs sur le terrain en fonction de l'organisation
supposée de la défense (attaque d'un dispositif 1/5 par un placement en 2/4) et respectant, en outre, des
principes intangibles (attaquer en mouvement une défense homme à homme, privilégier le placement et la circulation de balle face à une défense de zone).
Nous admettrions donc par opposition que nôtre jeu "en lecture" serait la capacité à entreprendre de
chaque joueur, à partir du moment où il respecte à priori les principes généraux tels que :
1) Espace de jeu maximum,
2) Prises d'information vers la cible,
3) Réception de balle en courant vers le but,
4) Réoccupation des postes-clé libérés,
5) Prise en compte du jeu du porteur...
LE JEU "PLACE"
Auparavant, par tradition l’observation, nous repérions « les actions » du jeu en distinguant :
1) La phase de défense puis celle de
2) Contre-attaque puis
3) L'attaque placée pour finir le cycle par
4) Le repli défensif après la perte de balle.
Nous voudrions, essayer d'être plus précis quant à l'utilisation des termes : JEU PLACE.
Nous souhaiterions sous-entendre : Attaque organisée, avec un "placement des joueurs" repérable (5 autour, 1 dedans ou 4 autour, 2 dedans) opérant sans
changement de secteur. Les attaquants restent à leur place et tentent
d'exploiter les solutions offertes par le respect des principes fondamentaux du jeu et les capacités techniques des joueurs.
Le jeu placé nécessite, en règle générale, un « espace de jeu" maximum » :
Cet espace de jeu maximum doit être exploité grâce à une circulation de balle ample (certes) mais aussi rapide. Cette circulation de balle rapide doit pouvoir surprendre par l'utilisation de :
La phase de "jeu placé" doit également bénéficier du travail du ou des joueurs "dedans" qui doit couper la
cohésion du bloc défensif et permettre la création d'intervalles.
II est évident que cette option d'attaquer, chacun à sa place, en privilégiant la circulation du ballon et le jeu direct vers le but sera plus envisageable
contre certaines défenses que d'autres.
Ne pas trop exagérer d'utiliser cette option d'une manière exclusive et continue. Nous envisageons très bien, par exemple, de commencer une attaque en appliquant
de tels principes puis d'enchaîner par des mouvements de joueurs ou la mise en place d'un schéma tactique dans un 2e temps.
La Croatie, championne du monde en 2003 et championne olympique en 2004 a, parfaitement, illustré ce jeu "placé".
5 joueurs situés autour en encerclement de la défense, un pivot (Vori) à l'intérieur, DC exceptionnel (Balic) par sa capacité à jouer dans son secteur en "triple
menace" : tir à travers, débordement dans peu d'espace, ou passes décisives soit en décalage simple soit en renversement soit en utilisant des passes "sautées" directes vers les
ailiers.
Les caractéristiques du pivot Vori, grand, solide, adroit et en totale adéquation avec son partenaire permettent une relation très efficace. Le jeu du joueur dedans consistant :
Les 4 autres joueurs, au cours de cette phase, doivent prendre des informations sur le but et être capables de recevoir le ballon en courant vers l'avant et de décider, dans le moins de temps possible de :
La règle d'or étant qu'il est interdit de se faire "prendre" balle en main. Les ailiers, en particulier, devront choisir, sur chaque réception, entre courir pour
impulser vers la cible ou attaquer dans le 1er intervalle pour créer le surnombre.
L'équipe russe procède, également, de la sorte mais avec un espace de jeu plus restreint du fait de la position des ailiers beaucoup plus à
l'intérieur.
Ce jeu placé, assimilable à une recherche d'une position préférentielle par rapport à la défense demande une grande vitesse d'action et une parfaite orientation
des appuis pour jouer, en permanence vers l'avant.
LE JEU "PROGRAMME"
Natfahmou hnaya 'il s'agit d'un PROJET lequel un certain nombre de joueurs(es) participent dans la construction de l’attaque, basé sur les caractéristiques connues
de la défense et, supposé exploiter ses points faibles !
Cette intention tactique collective demande donc un certains nombre de précautions :
Les enchaînements d'action doivent être "appris" et répétés jusqu'à devenir des "automatismes".
Les rôles et les tâches de chaque joueur concerné assimilés ainsi que ceux des partenaires concernés.
Toutes les évolutions par rapport aux réactions possibles de la défense auront du être prévues.
Le programme envisagé peut n'être qu'un "enclenchement" ou une mise en action initiale favorable à l'issue
de laquelle le joueur doit effectuer des choix ou avoir des initiatives...
Celui-ci peut être aussi un PROJET abouti et définitif devant être mené jusqu'au bout de sa logique.
Mahma kan schéma ou circulation tactique demande de longs investissements et sont, la plupart du temps, conservés longtemps dans le patrimoine d'une équipe.
L'équipe de France de handball, par exemple, a mis au point au début des années 90 un schéma tactique pour attaquer en situation d'infériorité numérique à 1 joueur
de moins qu'elle utilisa, systématiquement, jusqu'aux JO de Sydney.
Autres exemples : L'équipe d'Allemagne utilisait, ces dernières saisons (2000/2004), un enclenchement à partir de la sortie du pivot C. Schwartzer en poste et
l'entrée du DC M. Baur en pivot.
L'équipe France, en 1/4 de finale contre la Russie avait, apparemment, préparé son affaire en associant une sortie du PV et une rentrée du DC à l'intérieur. Ces deux exemples d'intentions collectives (assez proches l'un de l'autre !) nous apparaissent comme des "enclenchements" c'est-à-dire des enchaînements d'action préparés et connus de l'ensemble des joueurs et dont l'objectif est de poser un problème à la défense en exploitant, comme nous le disions plus avant, un point faible !
Les projets allemand et français étaient basés sur l'exploitation de mouvements de joueurs mêlant "base avant et base arrière" sachant que la défense "homme à homme,
1/5 des russes n'aime pas trop ce type de déplacement car le défenseur avancé (Kockcharov) doit s'aligner, pour faire face, avec le "libéro" (Gorpichine), et cette phase constitue un moment de
faiblesse pour la défense chère à V.Maksimov.
Cette recherche offensive n'est pas figée ou fermée car après le déclenchement initial "programmé" les joueurs et le porteur de balle en particulier sont "libres" de
leurs choix qui doivent être tirés de "l'observation" de la situation telle qu'elle se présente.
Le projet peut être plus rigide ou systématique. II s'agit alors d'une solution "unique" recherchée, basée sur des déplacements de joueurs pré-établis et une
circulation de balle obligatoire pour aboutir à une situation de tir préférentielle.
Ce type de "schéma" s'appuie sur la vitesse d'exécution puisque chacun des participants connaît son rôle par cœur.
LE JEU "SPONTANÉ"
Les spécialistes de Basket parler de "jeu en lecture". Le joueur en attaque, s'il est placé correctement, s'il a reçu le ballon dans de bonnes conditions, s'il est capable d'avoir pris les bonnes informations juste avant de devenir "porteur", doit agir afin de :
Cette façon d'attaquer, basée sur le principe de "l'initiative individuelle", exprimant une forme de "liberté" s'appuie sur le
respect strict des grands principes du jeu offensif :
Soutenir quand la balle est sur un partenaire "soutien".
Chaque attaquant est donc "charek - Participe" en fonction de la situation de jeu. Chaque partenaire doit analyser le jeu du porteur
pour se mettre dans les meilleures conditions :
Jouer en lecture peut apparaître complexe et, quelque part peu "rassurant" pour l'attaquant. Certes beaucoup préfèrent bénéficier
d'un leader de jeu (Balic) ou de systèmes plus ou moins stéréotypés. N'oublions pas, cependant, que tout ce qui va rassurer, l'attaque n'est pas forcément ce qui va poser le plus de problème à la
défense. A contrario est ce que l'objectif de toute attaque n'est-il pas de faire peser le plus "d'incertitude" possible sur la défense ?
Le jeu ne vaudrait-il pas la chandelle de risquer un peu moins de confort pour ses attaquants au prix de priver la défense de ses facultés d'anticipation
?
LE JEU DE TRANSITION - INTERMÉDIAIRE
Depuis quelques temps déjà, certains entraîneurs proposent de procéder, après la récupération du ballon, à une mise en action la plus rapide possible vers le but à
attaquer de la part de l'ensemble des joueurs qui constituaient l'organisation défensive. Selon les circonstances on assiste soit à une "contre-attaque directe" par exploitation de la prise de
vitesse par certains attaquants du "repli défensif" soit à une recherche d'installation du plus grand nombre d'attaquants, le plus rapidement possible, même si le repli défensif semble avoir paré
au plus pressé en contrôlant les premiers contre-attaquants.
Cette tentative se veut donc "transitoire" entre la contre-attaque classique et le début de l'attaque organisée.
L'utilisation du "jeu de transition" permet la continuité du jeu privant la défense de la phase de replacement mise à profit (souvent) pour effectuer les changements
de joueurs entre ceux qui attaquent
mais ne défendent pas et leurs remplaçants. Cela sous-entend, bien sûr, que la phase de transition se joue avec l'essentiel des joueurs ayant participé à la phase de
défense.
Historiquement, l'une des premières applications de ce type fut l’œuvre de l'équipe d'URSS, dans la période 1987- 1992 où, sous l'impulsion de ('entraîneur
Mironowitch (Minsk) on voyait que la phase de contre- attaque directe était, systématiquement prolongée par une phase de transition qui s'illustrait par le placement de deux pivots (Chepkin et
Nesterov), avec 2 joueurs écartés sur les ailes (Atavin à gauche et Schewtsov à droite) pendant que Karkaciewitch et Tsumentsev assuraient la conservation du ballon tout en
recherchant la passe décisive sur l'un des deux pivots ou une pénétration ou un appui central pour Atavin venu appeler le ballon vers l'intérieur. La simple
description de ces opportunités montre qu'il y avait "utilisation de temps". Si aucune solution n'était trouvée, l'équipe russe procédait alors à son changement de joueur permettant la rentrée de
Toutchkine. II est vrai qu'à cette époque là on ne sanctionnait pas comme aujourd'hui le "jeu passif" et que la succession de ces phases ne posait aucun problème.
Aujourd'hui, alors que le législateur a introduit la notion "d'engagement rapide", permettant, en fait, de contre-attaquer même
après avoir encaissé un but ou d'envisager une transition accélérée se pose le problème de la "permission" d'utiliser le "jeu de transition" qui est une phase active, en continuité
avec
l'acte défensif et de pouvoir, ensuite, bénéficier d'un moment de replacement ou de changement de joueurs tout en respectant l'esprit de la règle concernant le "jeu
passif" ?
II est évident qu'une équipe menant au score et semblant proposer une phase de transition sans réellement l'exploiter et qui, par la suite, opérerait, tranquillement
des changements de joueurs se verrait, probablement, très vite, sous la menace d'une sanction de "jeu passif".
Quelle pourrait donc être, aujourd'hui, la bonne attitude allant dans le sens de l'amélioration de l'attractivité du handball ?
Elle doit, en outre, préciser les tâches respectives :
Qui fait quoi ? Qui va où et dans quel but ?
Elle peut s'accompagner d'un changement rapide de joueur. La transition peut se jouer à 5 joueurs de champ à condition que le nouvel entrant s'intègre le plus vite
possible au processus offensif. Cette recherche doit comporter, pour être crédible du jeu en mouvement.
Le club français de Montpellier Hérault, vainqueur de la Ligue des champions 2003, adepte de ce procédé, installe rapidement 1 PV puis un second pendant que les 4
joueurs autour combinent entre eux sur le thème du croisé.
Conclusion :
Mes posts étaient donc de vous aider à y voir clair dans notre JEU OFFENSIF.
Ma motivation, si elle était d'ordre "didactique" se résumerait en vous disant :
PRINCIPES GÉNÉRAUX D'UNE ATTAQUE DE DÉFENSE ÉTAGÉE 2/4 (ATTAQUE D'UNE DÉFENSE à 2 LIGNES)...
ASPECTS STRATÉGIQUES & JEU COLLECTIF
OBJECTIF :
* SE METTRE DANS DES DISPOSITIONS FAVORABLES POUR BATTRE LE SYSTÈME DE JEU ET LE DISPOSITIF EMPLOYÉ. IL S’AGIT DE JOUER JUSTE PAR RAPPORT A L’ORGANISATION COLLECTIVE EN DÉFENSE.
1/ Devant une défense de type ZONE : Privilégier la circulation de la balle.
2/ Devant une défense de type H à H / FILLE à FILLE : Privilégier la circulation des joueurs.
PRINCIPES:
1. Encercler.
2. Augmenter les espaces.
3. Pénétration de la défense par une joueuse pour jouer avec lui en gardant le pivot à 6 m pour conserver l’étagement.
4. Vitesse de circulation de la balle.
CARACTÉRISTIQUES
* POINTS FORTS :
La 1ère ligne composée de 1 à 3 joueurs harcèle la base arrière et perturbe la circulation de la balle.
Secteur central renforcé.
Placement de contre attaque très favorable.
* POINTS FAIBLES :
Couverture latérale du terrain.
LES BUTS DE L’ATTAQUE
1) Utiliser un espace de jeu maximal.
2) Créer un surnombre sur la 2ème ligne.
3) Le dispositif :
* Peut être inverse de celui de la défense si cette dernière privilégie le flottement.
* Peut être calqué puis en mouvement si la défense est de type fille à fille.
OBJECTIF :
SE METTRE DANS DES DISPOSITIONS FAVORABLES POUR BATTRE LE SYSTÈME DE JEU ET LE DISPOSITIF EMPLOYÉ. IL S’AGIT DE JOUER JUSTE PAR RAPPORT A L’ORGANISATION COLLECTIVE EN DÉFENSE.
ATTAQUE D’UNE DÉFENSE ALIGNÉE
CARACTÉRISTIQUES :
POINTS FAIBLES :
LES BUTS DE L’ATTAQUE
LES PRINCIPES
1. Encercler.
2. Se rapprocher.
3. Qualité des relations Passeur / Réceptionneur à 2 « vitesse de circulation ».
4. Attaque dans les espaces libres.
5. Le pivot coupe la défense en deux.
6. Jeu en renversement.
7. Relation de la base arrière / base avant.
ADAPTATIONS
1) Mise en place d’une circulation ample sur la base arrière.
2) Engagement initial en direction du pivot.
3) Si dissuasion aux ailes placer le pivot en position externe « entre DN°2 / DN°1 ».
4) Jouer avec un appui central : Pivot sortie en poste ou ailier opposé au pivot, quand le DC a la balle et pour lancer l’arrière opposé.
ATTAQUE
D’UNE DÉFENSE ÉTAGÉE
LES PRINCIPES
1. Encercler.
2. Augmenter les espaces.
3. Pénétration de la défense par un joueur pour jouer avec lui en gardant le pivot à 6 m pour conserver l’étagement.
4. Vitesse de circulation de la balle.
ATTAQUE D’UNE DÉFENSE EN 2 LIGNES
CARACTÉRISTIQUES
LES BUTS DE L’ATTAQUE
1) Utiliser un espace de jeu maximal.
2) Créer un surnombre sur la 2ème ligne.
3) Le dispositif :
ATTAQUE D’UNE DÉFENSE EN 3/3
Le problème essentiel posé par cette défense est celui du timing perceptif pour :
TROIS PRINCIPES DE BASE DE LA DÉFENSE
1) Empêchez l'adversaire de MARQUER les buts,
2) Touchez le porteur de balle « aux attaques d'adversaires »,
3) Récupérez la balle.
Il signifie :
Tous les joueurs devraient connaître les différentes techniques de la défense parfaitement, indépendante des systèmes de défense.
CONDITIONS PRÉALABLES DE LA DÉFENSE RÉUSSITE
SOUHAIT ET DÉSIR (esprit de la défense)
1) Esprit d'équipe.
2) Désir de défendre.
3) La motivation.
4) Discipline dans le système de défense
LA CONNAISSANCE DU SUJET
1) Rôle dans le système de défense.
2) Coopération dans le système de défense.
3) Informations sur l'adversaire.
4) Reconnaissez pour posséder des qualifications personnelles.
5) Règles du jeu.
CAPACITÉ DE PRATIQUER (Condition et techniques)
1) Caractéristiques physiques.
2) Résistance psychologique (motivation).
3) Conditions.
4) Techniques de la défense :
FORMATION
1 Exercices de défense individuelle :
1. Entraînement :
2. Exercices de défense en groupe :
3. Exercices de la défense d'équipe :
CONCLUSION
1) La priorité et les conditions préalables de base pour la réussite de défense, inspirent les souhaits des joueurs et le désire de faire la défense. (Motivation).
2) Le système de défense 3 :2 :1 devrait être formé et appliqué selon :
3) Rappelle : La bonne défense est la première phase des attaques réussies et efficaces.